Les peuples invisibles
Le documentaire de Richard Desjardins et Robert Monderie, Le peuple invisible, parle sur la population alngonkienne, un peuple avec une culture autochtone qui a été forcé à disparaitre, à comprendre une langue étrangère, à accepter des lois étranges, autres que las siennes.
Il s’agit de 9000 personnes réparties dans une dizaine de communautés au Québec. Des personnes pauvres, aux droits bafoués avec de promesses brisées et une existence oubliée.
La réalité est la même. Les peuples indiens souffrent la plupart du temps de mauvais traits et d’injustices. Ces peuples ont souffert d’ailleurs le résultat d’une colonisation non-voulue et d’un volé de patrie.
Autant en Amérique du nord comme en l’Amérique latine, nos indiens vivaient joyeusement avec la nature, leur costumes et leur culture. Mais ils étaient trop « bêtes » et sauvages que des étrangères qui se croyaient importantes (et qui s’attribuaient le don de tout savoir et de que tout ce qu’ils savaient c’était la réalité des choses) ont voulu assimiler aux quels ne voulaient pas être assimilés.
On les a imposé une nouvelle langue, culture, mais en plus on les a forcé à s’oublier de la sienne. Après sa, on les a volé leur territoire sans importer qu’ils n’avaient pas un autre place pour rester. On les a mis dehors de ces territoires là les appartenaient depuis des centaines d’années. En fait, ce ça ce qu’on voulait, les territoires, mais on ne savait pas comment se débarrasser d’eux.
Ce qu’ils ont fait, et d’abord, ce qu’on se faire dans l’actualité, c’est un GENOCIDE.