:( Je n'Ai jamais été capable de les voir sur le site..!

A quelques jours de la rencontre des Nations Unies à Rome au sujet de l’actuelle crise alimentaire mondiale, 26 représentants des pays latino-américains se sont réunis ce vendredi à Caracas, Venezuela, avec le but de développer une politique commune pour atténuer le problème ce problème qui les touché aussi.

Ces pays, majoritairement en voie de développement, doivent vraiment se préparer pour ce qui s’en vienne. S’ils n’agissent pas, une catastrophe majeure peut avoir lieu. La situation est déjà compliqué, alors ils cherchent des solutions diverses pour les causes diverses qui ont causé la crise. L’augmentation de la demande des biocarburants, tirés de céréales, est vue comme la cause principal de la montée des prix des produits alimentaires dans le monde qui ont amené, selon un document de la BM, que le prix du blé monte de 181% depuis trois ans et les prix des aliments de 83%.

On verra les solutions proposés. Cependant, on sait qu’aucune solution peut se prendre et mettre en action tout de suite sans compter avec l’aide des autres gouvernements (des pays développés) ou des organisations internationales, car malheureusement, la mauvaise redistribution de la richesse ne permet pas l’autonomie financière de certains pays quand ils ont plus besoin, les ressources sont faibles.

Pour sa part, le FMI a déjà consacre 200 millions au profit de Djibouti, Haïti et le Liberia pour le soutien de l’agriculture et l’alimentation. En plus, autour de 1,2 milliard de dollars se sont dégagés en nouveaux prêts pour contribuer à régler le problème.

Le 2 et 3 mai derniers, le cyclone Nargis a frappé l’ancien Birmanie et a laissée 77 738 morts et 55 917 disparus selon le plus récent rapport officiel émit par la télévision birmane.

Le bilan hausse encore. Jeudi, le chiffre était de 43 318 morts et 27 838 disparus, mais jours après, l’ONU a annoncé qu’il s’agissait d’environ 100 000 victimes tandis que la Croix-Rouge estimait 128 000 morts. Même si les chiffres ne sont pas clairs, il s’agit d’un pourcentage considérable de pertes humaines.

Pays en voie de développement, plus une junte militaire au pouvoir, plus un cyclone dévastateur égal : catastrophe total. Cependant, la situation se détériore encore. Les trois principaux problèmes sont la manque de ressources économiques et humaines qui a le pays pour faire face à un problème du genre, la junte militaire qui dirige le pays qui ne veut pas laisser entrer aucun aide étrangère au pays; et la saison des moussons qui s’envient.

Les villages dévastés n’ont pas d’eau, ni nourriture, ni abris, ni médicaments. Le paysage et apocalyptique et les chances de retrouver des survivants se obscurcit chaque fois plus. Les maladies comme le choléra, la fièvre typhoïde, la dengue hémorragique et malaria prennent avantage des mauvaises conditions de la population pour l’attaquer.  En plus, 1 hôpital sur 5 est endommagé à cause du cyclone.

L’ONU affirme que de 1,6 à 2,5 millions de Birmans ont besoin de vivres, un place poyr rester et de médicaments. Mais avec la junte qui ne veut toujours pas laisser entrer des étrangers, même pas aux membres de l’ONU, l’aide est difficile à arriver chez les survivants.

Il était encore de bonne heure en Chine quand un séisme de magnitude 7,9 sur l’échelle de Richter à frappe la province chinoise de Sichuan. Le bilan jusqu’au moment somme plus de 50  000 morts (d’où seulement 21 000 cadavres ont été retrouvés), plus de 100 000 habitants blésés et environ de 216 000 édifices entièrement détruits.

La situation était déjà compliqué le jour même du tremblement de terre, mais il y a eu une puissante réplique vendredi qui a entraine des glissements de terrain et coupé des routes qui venaient d’être réouvertes.

L’aide international est en place depuis vendredi. Pays comme le Japon, la Russie, la Corée du Sud et le Singapour ont envoyé des secouristes. Des ONGs se sont aussi présentées comme l’International Rescue Corps et son aide a été efficace, car les ressources du gouvernement chinois ne suffisaient pas.

Si bien la recherche de survivants continue, et si bien les experts affirment que les gens peuvent survivre jusqu’à 15 jours, ils dissent aussi qu’il s’agit alors d’un miracle pour trouver encore des survivants.

L’ONU a publié jeudi passé sa mis à jour de son rapport annuel. Les informations publiées semblent décourager la communauté internationale qui a constaté que le pourcentage de croissance économique de 3,4 pour l’année 2008, ne sera probablement pas attendu comme les prévisions de janvier avaient indiqué. Le rapport estime que l’économie mondiale atteindra seulement de 1,8% cette année et que cette situation devrait poursuivre aussi en 2009.

Selon l’ONU, la crise des marchés financiers américains suivi de la baise du dollar américain, la hausse du prix du pétrole et la crise alimentaire mondiale sont les principaux éléments responsables de la situation.

Le problème majeur est, après l’organisme, que cette croissance pourrait même chuter à 0,8% si la crisse du crédit aux É-U continue dû à l’impact qu’elle à sur le reste de pays aux monde.

La revue britanique Jane’s Defense Weeckly a confirmé des rumeurs qui circulaient depuis 2002 sur une base secrète chinoise en mer de Chine. Le but de cette gigantesque base navale sera de permettre autant à la Chine comme au Japon, le transite de pétrole sur une nouvelle tête de pont plus facilement.

La base militaire souterraine est discrètement construite, mais s’il s’agit seulement d’une base navale ordinaire, pourquoi autant de mystère?

Selon les rédacteurs de la revue, cette base pourrait bien signifier un renforcement de ses capacités stratégiques. Ils croient aussi qu’il y a la possibilité de que la Chine soit en train de fabriquer une flotte entière des sous-marins, navires de guerre incluant des porte avions.

La actividad volcánica parece estar de moda. Primero el reventador hace unos años, el Tungurahua en Ecuador y ahora el Chaitien en Chile.

En este último caso, más de 4000 personas fueron evacuadas. Es una cifra considerable sabiendo que la ciudad cuenta con 7000 habitantes.

Según el Onemi (la Oficina Nacional de Emergencias), el volcán continuara a emanar cenizas, cenizas que ya han formado una nube de 20km hacia el este lo que podrá afectar a las poblaciones argentinas.

Y eso no es todo. El agua y el transporte de víveres para los refugiados, es como siempre un problema. El estado de alerta de mantiene esperemos que después de la ceniza, venga pronto la calma.

Les pays se sont réunit en Indonésie pour aborder encore une fois le problème de la crise alimentaire.

Les mesures sont diverses. Les pays d’Asie du Sud-Est par exemple ont dit qu’ils allaient travailler fort pour pouvoir produire plus afin de faire face à la crise qui a suivi la hausse exorbitante du coût des produits de base comme le riz.  Pour pouvoir atteindre cet objectif, ils ont aussi parlé sur le transfert de technologie, l’importance des investissements ne pas seulement du secteur public mais privé et sur l’augmentation de surfaces prêtes à la cultivassions.

En plus, les pays ont accordé qu’ils exporteront seulement les produits quand la demande interne du pays ait été fournie.

Pour sa part, des banques ont aussi promis d’agir. La Banque asiatique de développement a promis aide financière, sans encore précisé le montant, pour les pays d’Asie-Pacifique. La Banque africaine a accordé hausser à 4,8 milliards les montants consacrés à l’agriculture.

La Banque mondiale a exprimé aussi sa préoccupation, car elle estime que plus de 2 milliards de personnes sont affectés par la crise.

Les prix de ces denrées alimentaires de base ont doublé dans le monde en trois ans. L’inflation excessive a causé déjà des problèmes et même de émeutes dans plusieurs pays comme on l’a vu en Haïti.

Dans environ 200 villes du monde, des militants ont marché samedi passé pour exiger la légalisation de la marijuana.

La manifestation était organisée par le Centre compassion en raison du deuxième anniversaire de la marche mondiale pour la légalisation de la marijuana. Quelque 300 personnes ont participé à Montréal. Ils ont dénoncé l’attitude du gouvernement qui, heureusement, ne veut toujours pas décriminaliser la marijuana. Ils exigent de l’attention à leur demande cependant, ils reconnaitraient que la possibilité de légalisation est quasi nulle.                                                   

Le documentaire de Richard Desjardins et Robert Monderie, Le peuple invisible, parle sur la population alngonkienne, un peuple avec une culture autochtone qui a été forcé à disparaitre, à comprendre une langue étrangère, à accepter des lois étranges, autres que las siennes.

Il s’agit de 9000 personnes réparties dans une dizaine de communautés au Québec. Des personnes pauvres, aux droits bafoués avec de promesses brisées et une existence oubliée.

La réalité est la même. Les peuples indiens souffrent la plupart du temps de mauvais traits et d’injustices.  Ces peuples ont souffert d’ailleurs le résultat d’une colonisation non-voulue et d’un volé de patrie.

Autant en Amérique du nord comme en l’Amérique latine, nos indiens vivaient joyeusement avec la nature, leur costumes et leur culture. Mais ils étaient trop « bêtes » et sauvages que des étrangères qui se croyaient importantes (et qui s’attribuaient le don de tout savoir et de que tout ce qu’ils savaient c’était la réalité des choses) ont voulu assimiler aux quels ne voulaient pas être assimilés.

On les a imposé une nouvelle langue, culture, mais en plus on les a forcé à s’oublier de la sienne. Après sa, on les a volé leur territoire sans importer qu’ils n’avaient pas un autre place pour rester. On les a mis dehors de ces territoires là les appartenaient depuis des centaines d’années. En fait, ce ça ce qu’on voulait, les territoires, mais on ne savait pas comment se débarrasser d’eux.

Ce qu’ils ont fait, et d’abord, ce qu’on se faire dans l’actualité, c’est un GENOCIDE.